Zimmerbach 68

Rappel du premier message :

BONJOUR

Je vous adresse ce mail pour vous informer que la date retenue pour notre
10ème édition des véhicules anciens est le DIMANCHE 15 SEPTEMBRE , au lieu habituel
Plusieurs idées germent actuellement il faudra les sélectionner au mieux et pouvoir les exploiter
D’ores et déjà 2ACZ souhaite qu’un bon nombre d’exposants puissent venir en costume d’époque
Ou approprié à leur voiture.
Nous comptons sur vous pour faire suivre l’information de la date de notre manifestation et vous en remerciant
D’avance et espérons pouvoir à nouveau vous saluer pendant cette journée

Bien cordialement

Brigitte BUTTERLIN
Présidente de 2ACZ
ZIMMERBACH


Pour info j'y serai !

vu du ciel c est la classe

Ca avait l'air sympa. Je regrette de ne pas être venue. En plus c'était pas loin.

Le prochain aura lieu le 14 septembre, a ne pas oublier, j'y serai forcement !
Voir si quelqu'un veux faire une arrivée groupée ...

C'est dimanche 13 septembre 2015 de 9hoo a 18hoo
2aczva@gmail.com

Un début mitigé, mais après oulala ....

HA ouai....

Zimmerbach Quelques gouttes et beaucoup d'enthousiasme

Beau succès pour la 12 e rencontre de voitures anciennes de Zimmerbach malgré des cieux peu cléments le matin, et une participation moindre. Le beau monde était de la partie quand même...

Il y a ceux qui sont restés chez eux pour cause de pluie, et ceux qui n'ont pas pu arriver jusqu'à Zimmerbach pour cause de marathon de Colmar. Heureusement, il restait une bonne centaine de propriétaires de voitures anciennes qui ont tout de même fait le déplacement, à l'invitation de l'association d'animation culturelle de Zimmerbach (2ACZ), qui a su fédérer quatre clubs locaux pour l'organisation (la pétanque, le tennis, Les enfants d'abord et les jeunes du club de foot de Gunsbach-Zimmerbach).
Au programme, balades en anciennes, présentation des véhicules par Philippe Peter, séances photos avec les pin-up de Grunge Boutik, tombola et animations diverses. Pour les 60 ans de la DS, une plaque spécifique a même été remise aux exposants. Quelques-uns étaient d'ailleurs venus en DS, une auto qui soulève toujours un enthousiasme considérable. Il y avait ainsi la 23 « carbu boite mécanique » de Gérard, de Labaroche, qui voit en elle « la meilleure des DS », ou la DSuper5 couleur « brun scarabée » d'Yves, de Sigolsheim, dénichée dans un hangar à Biesheim, « entre charrues et tracteurs », puis entièrement restaurée...
Puis il y avait une joyeuse bande d'amateurs de Mathis, qui déplorait « le manque de voitures d'avant-guerre. Pourtant, en Alsace, il y en a beaucoup ! » Yves, encore lui, avait sorti son « coupé docteur », également appelé « faux cabriolet » type PY de 1931, comprenant à l'origine un « siège de belle-mère » à l'arrière, transformé en coffre depuis. « De tête, dit François Rupp, de Bennwihr, qui connaît bien le sujet, il reste onze modèles de type PY qui roulent, dont trois « faux cabriolets ». Attention, il s'agit de voitures connues, mais il peut encore y en avoir d'autres qui traînent et que l'on ne connaît pas ! » L'occasion de rappeler que « le club Mathis cherche toujours des pièces... »
Une voiture « attachante, rustique, sur laquelle on peut tout faire soi-même »
François avait quant à lui apporté sa camionnette Mathis QGN de 1932, pièce unique « connue » qui présente l'intérêt d'être un utilitaire d'origine, et non une berline transformée comme ce fut souvent le cas après la guerre.
Le plateau des voitures mythiques était quant à lui bien fourni : des Austin Mini, dont la 1100 de 76 d'André, qui fait des rallies hivernaux sur la neige avec, des Renault 4, dont une rare version 4x4 Sinpar construite à 2 200 exemplaires et décimée par la rouille, des Coccinelles, des Méhari ou des Traction.
La Triumph TR3 de Philippe Peter, qui est aussi représentant Grand Est de l'amicale Spitfire, a obtenu beaucoup de succès. Pour cause, son étonnant capot en plexiglas fabriqué sur mesure par Neotec, qui permet au public d'admirer le moteur en toutes circonstances. Ça plaît beaucoup, « ce matin, c'était l'attroupement ! » Évidemment, le moteur doit être beau, « chromé, nettoyé », et en plus c'est pratique : « Ça m'a même aidé à localiser une fuite... » Une voiture « attachante, rustique, sur laquelle on peut tout faire soi-même » avec une gueule d'enfer, que ce passionné de Triumph possède depuis 25 ans.
Enfin, il y avait Sébastien, de Griesbach, « pas spécialement » passionné de voitures anciennes et pourtant venu avec un petit roadster aussi étrange que rarissime, une Reliant Scimitar fabriquée en très petite série en Angleterre. « C'était la voiture de mon beau-père, aujourd'hui décédé. Et il adorait cette auto ! » Une sortie en sa mémoire, donc, et en famille, même si la conduite de l'engin est « assez crevante. On est assis à ras du sol, c'est comme un kart ! Mais en définitive, c'est plutôt terrible à conduire ! » Un hommage, et aussi une promesse : « Elle restera dans la famille... »

N.P.

Superbe journée et superbe rencontre avec Yolande et Ludo .

yes!!! un peu chaud mais c'était nickel

C'est demain !
Dimanche 10 septembre 2017

Après une matinée très calme et mitigée vu le temps,
l’après midi y avait foule et plein soleil.

Atteints du virus de la passion…
Dans la joie et la passion, la 14e édition de l’exposition de voitures anciennes de Zimmerbach a rassemblé quelques beaux exemplaires du patrimoine automobile d’antan ce dimanche.
Les amateurs de 2CV étaient comblés ce dimanche. Il y en avait quelques-unes à Zimmerbach… Photos DNA-Nicolas Pinot
Une escouade de 2CV. Alignées par le club 2CV O’Rhin, elles se laissaient admirer ce dimanche à Zimmerbach. « Mais la plus rare, c’est la mienne », glisse Pierrot, de Munster, venu tout seul et à l’improviste. « C’est une 2CV 6 Special E de 1981. Et le E signifie que son embrayage est centrifuge ». Une trouvaille bien connue des citroënistes, ancêtre de bien des systèmes destinés à faciliter le passage des vitesses sur les autos actuelles. Une technique présente sur les 2CV des années 50, que Citroën a tenté de remettre au goût du jour en 1981. Sans succès aucun. « Elle coûtait 1 000 francs plus cher qu’une 2CV normale. Du coup, bon nombre d’entre elles ont végété dans les concessions ». Il y en aurait eu environ 500. Dont celle de Pierrot, récupérée gratuitement par l’entremise d’un membre de sa famille. « Celui qui l’avait achetée avait plus de 80 ans. Au bout de 10 km parcourus avec cette voiture neuve, il a estimé ne plus être en état de conduire ! » Du coup, la 2CV est encore très peu kilométrée…
« Chaque voiture a nécessité 500 heures de travail »

Une autre 2CV était digne de toutes les attentions ce dimanche. Un modèle réduit, fabriqué en bois par Philippe Heidet, de la région mulhousienne. Elle côtoyait une Panhard X19 d’avant-guerre et une étonnante Panhard Dynamic Coupé. En bois elles aussi, aux lignes incroyablement fidèles, et dotées de nombreux raffinements : parties ouvrantes avec charnières, direction à crémaillère, reproduction du moteur, vitres fonctionnelles, capotes en cuir véritable ou sièges en tissu. « Chaque voiture a nécessité 500 heures de travail », explique Didier, le fils de ce bricoleur de génie, « davantage amateur du bois que des voitures ! »

Sympathique et bénie de la météo, la manifestation organisée par l’association 2ACZ a mobilisé une trentaine de bénévoles toute la journée. Les visiteurs y trouvaient en outre une exposition de mobylettes d’antan ou des dessins réalisés par les enfants de la commune sur le thème des véhicules anciens. Ces derniers avaient droit à un espace jeux, un stand de maquillage et des récompenses. Les autos y étaient de qualité avec de nombreuses américaines, des Traction, des Mathis, des « youngtimers » très en vogue et même une étonnante et rare Alfa Montréal orange de 1972. Jean-Marie, de Turckheim, l’a achetée voici neuf ans avant de la restaurer. « Je cherchais une occupatioLes amateurs de 2CV étaient comblés ce dimanche. Il y en avait quelques-unes à Zimmerbach… Photos DNA-Nicolas Pinotn pour ma retraite, et je n’étais pas spécialement branché par les italiennes ».

Mais c’est bien connu, le virus Alfa ne lâche jamais ses « victimes ». Avec sa ligne décoiffante, son volant bois très tulipé, ses confortables sièges baquets et surtout la mélodie du V8 de l’Alfa 33 Stradale ramené à 200cv placé sous le capot, la magie opère. « Beaucoup de gens me demandent ce que c’est », s’amuse Jean-Marie. Construite à 3825 exemplaires, elle est aujourd’hui devenue rarissime. « C’est une routière, mais pas une sportive. Surtout à cause de son châssis qui remonte à la Giulia. Quant au freinage, il est très léger… » Très confortable, « un peu gourmande », équipée d’une boîte 5 vitesses inversée, d’un allumage électronique, de vitres électriques « un peu lentes », elle a conquis son heureux propriétaire. « Je ne m’en séparerai pas. J’ai appris à la découvrir et à la connaître. Et j’en suis tombé amoureux. Du coup, mon cabriolet Peugeot 504, de 1972 lui aussi, est passé au second plan… »

Beaucoup de voitures intéressantes étaient à découvrir ce dimanche à Zimmerbach. Photo DNA-Nicolas Pinot

La 2CV de Pierrot est rarissime. Avec son embrayage centrifuge remis au goût du jour par Citroën en 1981, elle connut un flop, dû à un surcoût de... 1000 francs. Photo DNA-Nicolas Pinot

Les amateurs de 2CV étaient comblés ce dimanche. Il y en avait quelques-unes à Zimmerbach… Photos DNA-Nicolas Pinot

Une pièce d'orfèvrerie réalisée par Philippe Heidet. Sur ces voitures en bois, tout est fonctionnel. Photo DNA-Nicolas Pinot

Un propriétaire heureux. Jean-Marie a appris à connaître son Alfa Montréal. Et le fameux "virus Alfa" s'est chargé du reste... Photo DNA-Nicolas Pinot

Un stand club ?

qui va a zimmerbach demain ?

Present !